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LE CLUB DE LA SEMAINE : LE LIL

Promotion 16/02/2022

Les structures et associations sont de véritables partenaires de la Fédération au quotidien, et nous mettons en avant ceux qui contribuent le plus au rayonnement du squash dans notre rubrique "Le club de la semaine".

Pour ce cinquante-neuvième épisode, coup de projecteur sur un nouveau venu, qui est amené à devenir un acteur majeur de la discipline dans l'hexagone : le LIL, situé au cœur de la métropole éponyme et qui reçoit ce weekend un open national jeunes.

Article de Jérôme Elhaïk 

UN CLUB URBAIN ET MODERNE

UN LIEU DE VIE 2.0. Alors que les complexes sportifs ont eu tendance à s'installer en périphérie des grandes villes ces dernières années, le LIL est situé intra-muros. « On est à 300 mètres du métro, et d'une station de V'Lille, » précise son gérant Jean-François Niciejewski, qui a fait ses preuves avec le WAM, à Wambréchies (voir ci-dessous DEUX HOMMES, UN CLUB). « Nous souhaitons attirer une nouvelle clientèle, notamment des étudiants et des jeunes travailleurs, et c'est un projet qui était dans les tuyaux depuis cinq ans, » ajoute celui qui est connu sous le diminutif "JF" dans le monde du squash Français. « Je parle souvent de lieu de vie 2.0. La société a évolué, et le secteur des loisirs doit suivre le mouvement. Je suis convaincu que le sport indoor a un avenir, à condition de voir les choses autrement : c'est la raison pour laquelle les gens peuvent venir au LIL pour pratiquer une activité sportive, mais aussi boire un verre, se restaurer et même travailler seul ou en équipe, grâce aux 140 mètres carrés d'espace modulable pour les séminaires, les réunions de travail, et le co-working. » Avec six terrains de badminton et sept courts de squash, le sport reste le cœur de l'activité du LIL, et après une partie, les joueurs bénéficient d'un accès direct vers le club-house. « Il est un peu moins grand que celui du WAM, cependant l'agencement n'est pas le même, » précise son gérant. « Je trouve que le club se remplit bien, si on peut dire. On peut regarder les matches depuis l'endroit de son choix, et avoir une perspective totalement différente : depuis le bar, d'où on a également une vue incroyable sur le périphérique, ou en marchant le long de la coursive, qui rappelle les clubs Anglais. »

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Le LIL est une structure dont le design se veut résolument moderne (Crédit photo : Le LIL) 

MALGRÉ LA CRISE. « Franchement, c'était un gros pari d'ouvrir un club et de tenter de constituer une nouvelle clientèle en pleine crise sanitaire, » répond Jean-François Niciejewski lorsqu'on lui demande de faire un premier bilan, avec quelques mois de recul. « La période estivale ne compte pas, on a véritablement démarré en septembre. Le B2B fonctionnait très bien, la salle de séminaire était souvent réservée par des entreprises. Malheureusement, nous avons subi de plein fouet le retour des mesures de restriction et du télétravail en décembre. La bonne nouvelle, c'est que ça commence à reprendre depuis une quinzaine de jours. Concernant le B2C on est plutôt satisfaits, et c'est génial de voir le club plein tous les soirs. Le prochain défi sera d'en faire de même le midi, mais c'est un peu la même problématique à laquelle les restaurateurs font face. En tous les cas, c'est très intéressant d'interagir avec une population jeune, composée en majeure partie d'étudiants et de primoactifs. La tranche d'âge 18-25 ans n'est pas très présente dans le squash, en partie parce qu'il y a très peu de structures dans le centre des métropoles. En ce qui nous concerne, la proximité des stations de métro et de V'Lille est bien sûr un gros avantage. » Ces derniers mois, l'équipe du LIL n'a pas chômé pour leur offrir de nombreuses animations : cours collectifs (« qui sont remplis tous les vendredis, » indique le gérant du club), tournois loisirs et les fameuses boxes, à l'aide du site TinSquash.

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L'une des bonnes nouvelles depuis l'ouverture du LIL, c'est que les cours collectifs affichent complet (Crédit photo : Le LIL) 

L'ASSOCIATION. Pour l'instant, l'association Le Squash du Chat est hébergée à la fois au WAM, comme c'est le cas depuis sa création en 2006, et au LIL. « Je pense que c'était la bonne solution pour les débuts de la nouvelle structure, » estime Jean-François Niciejewski. « Lorsque le LIL sera arrivé à maturité, ce sera sans doute judicieux de créer une nouvelle association, et il faudra bien sûr trouver des bénévoles pour s'en occuper ... » Slimane Bouakil est sur la même longueur d'onde, estimant qu'il était « logique de s'appuyer sur le savoir-faire et le savoir-être existants pour démarrer, mais qu'il sera plus cohérent à l'avenir d'avoir deux entités distinctes. » L'actuel président du Squash du Chat a découvert la discipline à la Réunion, à l'ASOI. « Il m'a attiré davantage pour sa convivialité que pour le sport en lui-même, » indique-t-il. « Quand je suis rentré en métropole, j'ai cherché un club et le WAM n'était pas loin de chez moi. La coïncidence, c'est que Jean-François Niciejewski est un ami de longue date, on s'était connus pendant nos études avant de se perdre un peu de vue. » En 2014, il succède à Philippe Duquennoy et occupe depuis le poste de président aux cotés d'Emmanuel Razafindrasata (trésorier) et Sylvain Feucherolles (secrétaire général). « J'avais déjà œuvré dans le milieu associatif dans le passé, et mon moteur est avant tout le plaisir. On a la chance que le WAM, et maintenant le LIL soient de beaux outils et JF nous laisse une grande liberté, notamment pour l'organisation des tournois. Il y a une belle émulation parmi nos compétiteurs, notamment grâce aux boxes et au site TinSquash mis en place par Sylvain. »

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Slimane Bouakil, ici entouré de Jean-François Niciejewski et de Sylvain Feucherolles, est président de l'association du Squash du Chat depuis 2014 (Crédit photo : Asso du Wam)

Comme toutes ses homologues, l'association a souffert de la crise sanitaire (« on a perdu pas mal d'anciens, et on observe des trous de générations chez les jeunes, ») mais Slimane Bouakil reste optimiste. « Lille est une ville dynamique au niveau du squash, avec beaucoup de clubs. Je suis d'ailleurs convaincu que le projet de JF, qui mêle sport et entreprise, a tout son sens. » Lorsqu'on l'interroge sur l'avenir et les projets à moyen terme, il évoque une possible manifestation d'envergure, qui serait à la fois « sportive et festive. Elle devra être une œuvre collective, avec la ligue, la Fédération et les structures, et disposer désormais d'une entrée dans l'agglomération avec le LIL est un gros avantage. On a eu récemment, avec le volley et le basket, des exemples de manifestations au cœur de la ville, elles peuvent apporter beaucoup en termes de renommée. Même si je pense que le squash reste un sport de niche, et qu'on ne pourra jamais atteindre le niveau d'exposition des plus grosses disciplines, cette niche peut néanmoins devenir plus grosse et il faut chercher à développer la pratique sous toutes ses formes. »

DEUX HOMMES, UN CLUB

Jean-François Niciejewski, 49 ans, gérant du WAM et désormais du LIL

« J'ai découvert le squash lorsque j'étais étudiant, j'habitais à côte du club de l'Arbonnoise. Avec mes potes, on a commencé par le badminton, puis on s'est rapidement mis au squash. Pour ma part, j'ai toute de suite apprécié l'intensité, et la confrontation, on se tirait bien la bourre. J'aime aussi l'humilité que l'on ne retrouve pas forcément dans d'autres sports – j'ai également pratiqué le tennis et le foot. J'avais d'ailleurs entraîné des équipes de jeunes au LOSC. » C'est donc naturellement qu'il va se diriger vers l'enseignement du squash, avec une certaine réussite. Au sein de l'école de jeunes de l'Arbonnoise, il va former beaucoup de jeunes d'excellent niveau dont Faustine Gilles, championne de France junior en 2008. « C'est vrai que ça se passait bien. Pendant cette période, j'ai eu des échanges très enrichissants avec des entraîneurs comme André Delhoste, Fred Lecomte ou encore Benoit Letourneau. Ils m'ont encouragé à passer mon BE2 (NDLR : Brevet d'État 2ème degré), ce que j'ai fait, et j'ai fait partie de l'encadrement des équipes de France jeunes. Les journées étaient bien remplies, mais je garde un très bon souvenir de cette période et je me suis vraiment éclaté. » En 2006, il décide de voler de ses propres ailes (« J'y pensais depuis longtemps, c'était le bon moment. ») et d'ouvrir son club avec deux associés, Éric Lubrez et Charles Dubois. Un peu moins de quinze ans plus tard, c'est le même trio qui s'est lancé dans l'aventure du LIL. « C'est grâce à eux que nous avions pu saisir l'opportunité à Wambréchies, et j'étais donc heureux de leur renvoyer l'ascenseur en les intégrant à ce nouveau projet. Nous sommes associés dans une SCI, ils m'aident dans l'exploitation et sont présents au quotidien lorsque c'est nécessaire. » Après avoir mis trois ans à trouver son rythme de croisière, le WAM a acquis une belle réputation, et son succès est incontestable. « C'est gratifiant d'être reconnu partout en France et même à l'étranger, grâce à l'open de France junior. Néanmoins, le plus important à mes yeux est d'être parvenu à créer un véritable esprit club, les gens ne viennent pas que pour jouer. Il y a des gens qui faisaient partie de l'école de jeunes, qui sont aujourd'hui pères de famille et qui sont encore là, c'est une fierté. »

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Jean-François Niciejewski et Théo Parent sont les deux hommes forts du LIL (Crédit photo : Le LIL) 

Théo Parent, 30 ans, responsable du LIL

Théo Parent a débuté le squash si tôt qu'il ne se rappelle plus précisément à quel âge. Et pour cause : son père Jean-René était entraîneur au club de l'Arbonnoise, tout comme un certain Jean-François Niciejewski. « J'y ai joué pendant toute ma jeunesse, » raconte-t-il. « Comme JF, j'aime bien le côté confrontation de ce sport, et le fait que les deux joueurs partagent le même espace. Il y aussi la stratégie, avec cet espace en 3 dimensions. » Par la suite, Théo va devenir un excellent joueur, atteignant la 36ème place du classement national au milieu des années 2010. Parmi ses faits d'armes, on peut citer une quatrième place au championnat de France 2ème série, plusieurs titres de champion des Hauts-de-France et une participation au championnat du monde universitaire, sans oublier l'épopée de l'équipe de Bourges, avec laquelle il a évolué quelques saisons en Nationale 1. Lorsqu'on lui demande s'il avait toujours imaginé que le sport en général, et le squash en particulier, feraient partie de sa vie professionnelle, Théo Parent répond que « les choses se sont faites assez naturellement. Après la fac, j'ai eu l'opportunité de travailler dans un club en Belgique, puis dans un autre à Lille, même s'il n'y avait pas de squash (NDLR : Le Shaft, au sein du BTWIN Village). Lorsque JF m'a proposé le poste de responsable du LIL, c'était l'opportunité de revenir vers mon sport de toujours et je n'ai pas hésité longtemps. Mon rôle ? Que tout se passe bien (rires) ... Ça englobe de multiples tâches, de l'ouverture jusqu'à la fermeture. » Une sorte « d'homme à tout faire, » dixit Jean-François Niciejewski ...

LE LIL ACCUEILLE LES JEUNES

Pour la deuxième année consécutive, l'open de France junior a malheureusement été annulé. Néanmoins, les instances du squash (notamment la Fédération et son responsable du secteur jeunes, Pierre-André Loaëc) se sont mobilisés pour proposer une alternative, et un open national jeunes aura lieu de vendredi à dimanche sur les courts du LIL. « On est un petit peu déçus par le nombre d'inscrits (voir ci-dessous), mais le plus important était d'organiser cette compétition et de relancer ce rendez-vous important après un an d'interruption, » confie Jean-François Niciejewski. « Annuler l'open de France, je pense néanmoins que c'était la bonne décision. J'en parlais avec des joueurs Belges qui ont participé au Czech Junior Open, la logistique est très lourde, et la peur d'être positif et devoir quitter le tournoi est compliquée à gérer. Espérons qu'en 2023 la crise sanitaire sera résolue et qu'on pourra retrouver un fonctionnement normal, tout le monde en a besoin ... » En plus de l'OFJ, il se murmure qu'un autre événement d'envergure pourrait bientôt voir le jour dans les Hauts-de France. « Le président de la ligue, Aurélien Carlier, est très motivé pour à la fois pérenniser l'open national, dont la première édition a eu lieu au LIL et à l'Arbonnoise, et le faire grandir. On le soutiendra, et on peut parfaitement imaginer un tournoi PSA avec les premiers matches au LIL, avant de basculer sur un court vitré en extérieur. L'open de France junior nous a permis de nous rendre compte que c'était possible d'organiser une compétition internationale ici à Lille, notamment car l'accès est facile pour de nombreux pays. »

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Sacrée championne de Belgique le weekend dernier, la jeune Chloé Crabbe sera l'une des attractions de l'open national ce weekend (Crédit photo : Ladies Squash)

Même si comme évoqué au préalable, les organisateurs visaient plus haut en termes de participation, ce sont tout de même 50 jeunes qui seront au rendez-vous de l'open national ce weekend au LIL. Parmi eux, il y a Amir Khaled et Éthan Lecordier, respectivement vice-champion de France -15 ans et champion de France -13 ans. Mais aussi une délégation Belge d'une dizaine de membres, emmenée par Chloé Crabbe. Deux fois finaliste de l'open de France junior, cette jeune joueuse de 16 ans a profité de l'absence des sœurs Gilis pour remporter son premier titre de championne de Belgique il y a quelques jours.

 PALMARÈS ET GRANDES DATES 

☛ Peu de temps après son ouverture, l'équipe du LIL avait mis la barre très haut en accueillant un open national, en collaboration avec la ligue des Hauts-de-France et le club de l'Arbonnoise. Malgré la crise sanitaire, la réussite fût au rendez-vous avec un total de 96 participants (69 hommes, 27 femmes). Largement favoris, Lucas Serme et Marie Stéphan ont tenu leur rang, s'imposant sans perdre un jeu. La structure a également été le théâtre d'autres joutes de haut niveau depuis son ouverture, avec les rencontres de championnat de France Interclubs Nationale 1 (hommes et femmes). Parmi les noms qui ont foulé les parquets du LIL, on peut citer Baptiste Masotti, Coline Aumard, Sarah-Jane Perry ou encore Tesni Evans.

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Marie Stéphan et Lucas Serme ont remporté le premier open national des Hauts-de-France en août dernier au LIL (Crédits photo : Nicolas Barbeau)

☛ Les équipes de l'association Le Squash du Chat évoluent cette saison dans l'élite. Alors que le maintien sera mission impossible pour les filles, qui ne disposent d'aucune joueuse classée première série dans leur rangs, la tâche sera également ardue pour les garçons : Théo Parent et ses équipiers sont à seulement 2 points de la zone de non-relégation, mais Mulhouse, Annecy et Brest sont au menu de leur deuxième partie de saison.

☛ L'équipe féminine du Squash du Chat peut s'enorgueillir d'un joli palmarès, avec un titre de championnes de Nationale 3 en 2009, ainsi que deux autres en N2 en 2011 et 2017. L'édition 2011 avait d'ailleurs été exceptionnelle pour les Lillois avec la victoire des garçons en Nationale 3. Une belle satisfaction pour l'entraîneur du WAM Jean-François Niciejewski, car cet exploit avait été réalisé avec des équipes composées en majeure partie de joueurs et joueuses du cru.

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Les filles du WAM, championnes de Nationale 2 en 2017 (Crédit photo : Asso du Wam)

☛ Le Squash du Chat, également connu sous le nom d'asso du Wam, a aussi quelques distinctions individuelles à son palmarès. Notamment grâce à Romain Degezelle : formé par Jean-François Niciejewski à l'Arbonnoise, et plusieurs fois vice-champion de France en jeunes, il avait survolé le championnat de France 2ème série en 2009 à Blois. Plus récemment, il y a eu Henri Saniez, sacré champion de France 5ème série quelques mois après ses débuts en compétition, mais qui a de qui tenir : ses parents ont décroché plusieurs titres nationaux en vétérans, dont deux sous les couleurs du WAM pour sa mère Marie-Hélène, en +50 ans en 2011 puis en +60 ans en 2019. Toujours dans cette catégorie, Alain Demaret s'était imposé en 2010. Comme Romain Degezelle, Virginie Diot a débuté à l'Arbonnoise avant de suivre Jean-François Niciejewski dans l'aventure du WAM. Ancienne numéro 13 française, elle a décroché l'argent pour sa première participation au championnat de France +35 ans il y a trois ans.

☛ L'asso du WAM a également obtenu de bons résultats en jeunes, avec notamment une médaille de bronze au championnat de France Interclubs -17 ans en 2016 pour le trio Victor Brygo, Romain Bastian et Agathe Bastian. Le premier cité avait terminé troisième du championnat de France 4ème série en 2014, alors que Romain a obtenu plusieurs places d'honneur (4ème du championnat de France 2ème série, deux fois sixième en -19 ans).

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Les jeunes du WAM avaient décroché une belle médaille de bronze au championnat de France Interclubs en 2016 (Crédit photo : https://tsck973.jimdofree.com/)

☛ Même si l'objet de cet article est avant tout le nouveau club du LIL, voici un bref aperçu des compétitions d'envergure qui se sont déroulées au WAM depuis son ouverture. En premier lieu, l'open de France junior y a pris ses quartiers depuis 2009. et la liste des grands noms de la discipline qui ont inscrit leur nom au palmarès est longue : côté Tricolore, Mélissa Alves, Victor Crouin, Benjamin Aubert, et les champions de France 2021-2022 Grégoire Marche et Marie Stéphan, alors que pour les joueurs et joueuses étrangers on peut citer Tinne Gilis, Emily Whitlock, George Parker ou encore Moustafa El Sirty, valeur montante du squash Égyptien. Le club et l'association ont également lancé leur open national, intitulé KillBall, à partir de 2013. Ils avaient été gâtés pour la première édition avec une finale entre Mathieu Castagnet et Thierry Lincou (victoire de ce dernier). Lui succèderont au palmarès, Mathieu Castagnet justement, Fabien Verseille, Johan Bouquet, Christophe André, Guillaume Duquennoy et Patrick Rooney. L'ancien n°1 mondial et champion du monde Grégory Gaultier a également participé à plusieurs exhibitions dans le cadre du tournoi, notamment une en 2017 face à Paul Coll. Enfin, le club de Wambrechies, ainsi que l'Arbonnoise, ont accueilli le championnat de France jeunes toutes catégories fin octobre 2021.

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